Prendre en charge les troubles de l’écriture état des lieux

Votre enfant a des difficultés scolaires ? Il souffre lorsqu’il va à l’école, mais vous n’avez pas encore compris pourquoi ? Et si tout venait de ses problèmes d’écriture ? Améliorer l’écriture des enfants, c’est bien souvent les aider dans les apprentissages et leur donner confiance en eux.

Une écriture illisible, trop grosse, trop petitelente ou impulsive, engendrant des douleurs de poignet ou d’épaule mérite d’être bilantée et rééduquée.

La graphothérapie fait ses preuves : pour résoudre rapidement les problèmes d’écriture chez les enfants, vous pouvez faire appel à l’expertise d’un graphothérapeute. Je vous en dis plus sur ce formidable métier.

Problèmes d’écriture : les signaux d’alerte

La maîtresse vous a peut-être convoqués, pour vous parler des difficultés de votre enfant :

  • “il écrit mal…”
  • “ il a du mal à suivre en classe” ;
  • “la copie au tableau est laborieuse…”
  • “il ne tient pas en place sur sa chaise”…

 

Cette liste, non exhaustive, paraît décourageante pour vous parents, mais aussi pour votre enfant, qui fait tout ce qu’il peut pour satisfaire à la fois son enseignante et vous-même.

Or, lorsque des difficultés de copie, une écriture illisible, lente ou douloureuse apparaissent avoir recours à une graphothérapeute est une excellente solution.

Venez me rencontrer si vous repérez ces signaux d’alerte :

  • Votre enfant fait preuve de lenteur ;
  • Votre enfant souffre lorsqu’il écrit ;
  • Son écriture est illisible ;
  • Il n’arrive pas à comprendre ce qu’il écrit : l’accès au sens est bloqué.
Problèmes d’écriture : les signaux d’alerte
Les conséquences des troubles de l’écriture

Les conséquences des troubles de l’écriture

Lorsque l’écriture n’est pas automatisée ou lorsqu’elle est mal intégrée, elle gêne considérablement l’enfant, et ce, durant toute la journée d’école. La fatigabilité entraînée par ce trouble est incommensurable.

Cela entraîne :

  • une perte d’assurance chez le jeune, qui finit par totalement douter de lui ;
  • une irritabilité : la fatigue accumulée par la volonté de bien faire finit par se ressentir ;
  • un abandon des matières scolaires : constamment en situation de double tâche, il s’ épuise.

 

 

Le saviez-vous ? Jean-Michel Albaret, chercheur à l’université de Toulouse, a estimé que les activités d’écriture occupaient entre 30 et 50 % du temps scolaire. Des chiffres à faire frémir tous les enfants ayant une écriture dysfonctionnelle.